Comment faut-il considérer la maladie?

Pendant fort longtemps, la maladie a été considérée comme une fatalité, un coup du sort, devant lequel les êtres humains se retrouvent impuissants et désemparés.

Jusque là il ne restait plus aux malheureux malades qu’à s'en remettre au pouvoir du médecin, de l'homme-médecine, du chamane ou du guérisseur et à la puissance de leur médication/méditation.

Depuis l’avènement de la médecine dite "scientifique", les causes de la plupart de nos maladies ont été considérées soit comme exogènes c'est-à-dire provenant de l'extérieur (agressions en provenance de l’environnement, microbes, pollutions diverses de l'air, de la terre et de l'eau, mauvaise alimentation, etc.), soit comme génétiques (liées à l'hérédité, aux mutations, aux erreurs de codage de l'ADN, etc.).

Dans une telle perspective, l'on comprend pourquoi les recherches, les efforts et les investissements en matière de santé publique ont, depuis lors, toujours obstinément été concentrés dans la même direction: combattre les agressions, extérieures, rectifier le code génétique défectueux et, le plus efficacement possible, extirper les désagréables symptômes apparents.

Le bilan de cette bataille engagée depuis plus d’un siècle est, en fait, un désastre. En effet, depuis peu avant le tournant du millénaire, par exemple, les maladies endocrines ont progressé de 954 %, les maladies cardiovasculaires de 356 %, les maladies mentales de 214 % et les cancers de 352 %.


Pourtant, pendant des millions d’années, le genre humain a  réussi à survivre  sans médecins ni médecines "scientifiques", sans pharmaciens ni labos, sans vaccinations obligatoires, sans chirurgie de haute volée technologique et même sans antibiotiques. Mais comment a-t-il donc fait?

Ne serait-il pas temps de regarder la maladie d’un tout autre point de vue, par exemple, comme le signe de la survenance d'un déséquilibre intérieur? Ne serait-il pas temps de considérer que l'âme déteint sur le corps et que, sous l'emprise de celle-ci, le corps - dont fait partie l'encéphale - est conçu et, même, en quelque sorte, "programmé" pour réagir en fonction de lois biologiques bien déterminées?

Et ne serait-il pas, maintenant, grand temps d’examiner  de manière approfondie comment nos ressentis, nos pensées, nos paroles et nos actes, créent des formes, et comment ces formes viennent ensuite interagir dans les processus biologiques à l'œuvre dans un corps physique?

Depuis plusieurs décennies, de grands chercheurs indépendants (tels que le Professeur Henri Laborit, le Docteur Ryke Geerd Hamer, le Docteur Claude Sabbah, etc.) ont démontré que toutes les maladies découlent de "chocs" et de "conflits" psychiques, que les malades ne sont pas encore parvenus pas à accepter, à comprendre, à assimiler  ("C'est plus fort que moi; je ne peux pas mettre ça au dessus de moi").

Chaque chercheur, à sa manière, a montré  ou même démontré que l’évolution des symptômes de maladie apparents est contrôlée par différentes zones de notre cerveau ("foyers de Hamer"), depuis le déclenchement de la maladie jusqu’à sa guérison totale. Qu’il s’agisse d’une allergie, d'une grippe, ou même d’une indigestion, qu’il s’agisse de maladies virales, de cancers, de scléroses en tous genres, de sida, de Parkinson ou de Alzheimer, tout résulte d'un choc psychique non digéré ("Tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime") et est ensuite déclenché et contrôlé dans le corps à partir de l'encéphale.

De plus en plus d’auteurs contemporains ont, depuis lors, publié des manuels de "décodage biologique", proposant des correspondances à reconnaître entre un choc particulier dans notre ressenti et l’apparition d’une maladie déterminée, et ce pour la plupart des maladies connues.

Il est, certes, utile de reconnaître intérieurement ces correspondances, car elles sont porteuses d’un enseignement profond selon lequel la maladie ne survient jamais "par hasard". Elle s’inscrit toujours dans une logique qui relie la manière dont les patients ont ressenti et subi un événement imprévu de leur vie et la réponse apportée à cela par leur organisme. Cette reconnaissance aide à mieux comprendre, diagnostiquer et  chercher le choc à l’origine des maux du corps et de l'âme. Mais cela ne suffit pas.

Car savoir comment les maladies surviennent sans savoir comment les guérir ne sert, en définitive, à pas grand chose. «Le Chemin de la Santé Parfaite» vient combler cette lacune. Il explique, dans un langage très accessible à ceux qui veulent vraiment comprendre, comment il est possible d'apprendre à vivre pour neutraliser l’impact négatif des chocs et des conflits à l’origine des maladies.

Il donne aux candidats à La Santé Parfaite une carte et une boussole pour retrouver en eux les chemins de la guérison, qui, en fait, ont toujours été là, mais dont la trace, était perdue parce que recouverte de toutes les scories apportées par ceux à qui les malades avaient passivement et aveuglément remis leur sort, à ceux qui, bardés de diplômes, étaient censés savoir mieux qu'eux.

Il indique comment développer une hygiène de vie, spirituelle, psychique, mentale et physique, pour que, progressivement, la maladie s'en vienne à disparaître de la vie humaine. De nombreuses histoires existent, d’hommes et de femmes qui ont accepté leur diagnostic mais refusé le pronostic fatal de leur maladie (cancers divers, etc.) et qui ont réussi à retrouver la santé en reconnaissant la cause profonde de leur état et en s’appuyant sur le potentiel de guérison depuis toujours inscrit dans leur âme et leur corps.

Dans l'expérience vécue du contenu de ce livre il est possible de se convaincre que la fatalité, en matière de santé et de bien-être, n’existe pas.

Car, ainsi que le disait Carl Gustav Jung:

«Nous désirons guérir nos maladies,
mais ce sont elles qui nous guérissent.»

et aussi:

«Tout ce que nous n’aurons pas ramené à la conscience
se manifestera, dans notre vie, comme le destin ou la fatalité».

Ainsi que nous le voulons,
ainsi en adviendra-t-il de nous.